Pour aller à l’essentiel : le sigle EBC désigne deux examens. Le Certificate EBC valide l’anglais professionnel en 5 épreuves, tandis que l’épreuve ELVi BCE inclut un thème (150-200 mots) comptant pour 20% de la note. Comprendre cette distinction cible la préparation des candidats, évitant erreurs et perte de temps. Une traduction réussie assure 20% de la note BCE.
Sommaire
Perdu face aux épreuves EBC traduction qui se ressemblent toutes ? Vous ne savez pas si vous préparez un certificat d’anglais business ou un concours d’école de commerce ? On démêle tout. Cet article révèle les 5 épreuves du Certificate in English for Business Communication (vocabulaire, compréhension, rédaction et oral) et explique la traduction (thème, pas version) des épreuves BCE, souvent confondues avec l’EBC. Focus sur la LV A (200 mots à traduire) et LV B (150 mots) à la BCE. En clair : plus de confusion, juste un plan d’attaque clair pour réussir ces examens stratégiques.
EBC : de quel examen parle-t-on vraiment ?
Vous cherchez des informations sur l’épreuve EBC traduction ? Pas de panique, on clarifie tout. Le sigle EBC désigne deux examens très différents : le Certificate in English for Business Communication (anglais des affaires) et les épreuves de langues de la Banque Commune d’Épreuves (BCE), souvent appelées “EBC” par abus de langage. Compliqué de s’y retrouver, non ?
Voici la différence clé :
- Certificate EBC : Diplôme de niveau B1+ à B2+ pour valider son anglais professionnel.
- BCE (épreuves de langues) : Concours d’admission en école de commerce, incluant une épreuve de traduction (thème) en LV A et LV B.
Cet article décortique d’abord les 5 épreuves du Certificate EBC (vocabulaire, compréhension, expression écrite/orale). Ensuite, on plonge dans les épreuves de traduction de la BCE : langues proposées, modalités, critères d’évaluation. Objectif : vous éviter de perdre du temps sur le mauvais examen. Prêt à dépasser la confusion ?
Le Certificate in English for Business Communication (EBC) : la structure en 5 épreuves
Vos objectifs professionnels nécessitent un certificat en anglais des affaires, mais vous avez besoin de cartographier précisément les attentes de chaque épreuve ? Pas de panique : je vous dévoile la structure exacte de l’EBC, un examen qui évalue votre anglais professionnel du niveau B1+ au B2+.
Un examen, 5 compétences clés
Imaginez le Certificate EBC comme un pentagone de compétences : chaque épreuve note une capacité précise sur 100 points, pour un total de 500. Vous devez obtenir au minimum 300 points pour franchir la ligne d’arrivée. Cet examen teste votre adaptation à des situations réelles du monde professionnel, avec un focus sur la communication business.
Le déroulé des 5 épreuves décortiqué
Voici votre fiche tactique complète pour identifier vos forces et vos zones d’amélioration. Chaque épreuve mérite votre attention stratégique :
| Épreuve | Durée | Contenu et Objectifs |
|---|---|---|
| EPREUVE 1 : Commercial Vocabulary | 40 minutes | 10 phrases commerciales (français vers anglais) et un texte à trous. L’objectif est de tester votre vocabulaire commercial précis. |
| EPREUVE 2 : Reading Comprehension | 40 minutes | 3 textes avec questions en anglais. Évalue votre capacité à comprendre des documents professionnels. |
| EPREUVE 3 : Listening Comprehension | 40 minutes | 10 passages audio avec questions. Mesure votre compréhension orale dans un contexte business. |
| EPREUVE 4 : Writing | 40 minutes | Rédaction d’un courrier professionnel. Teste votre expression écrite formelle. |
| EPREUVE 5 : Speaking | 15 minutes | Entretien et jeu de rôles. Évalue votre aisance et votre réactivité à l’oral. |
Comment est validée votre réussite ?
Après avoir maîtrisé les épreuves, voici les seuils qui déterminent votre niveau de maîtrise :
- Distinction : pour un score entre 400 et 500 points (niveau B2+)
- Merit : pour un score entre 350 et 399 points (niveau B2)
- Pass : pour un score entre 300 et 349 points (niveau B1+)
Les épreuves de langues de la BCE (ELVi) : le vrai champ de bataille
Les candidats aux écoles du concours BCE (HEC, ESSEC, ESCP, etc.) affrontent une épreuve de langues stratégique : l’ELVi. En 4 heures, vous devez jongler entre trois exercices aux poids inégaux. Objectif : décortiquer cette épreuve pour vous donner des armes concrètes.
L’épreuve ELVi : 3 exercices, 1 note
“L’épreuve ELVi n’est pas un simple test de langue. C’est un exercice de synthèse, d’argumentation et de précision qui évalue votre capacité à devenir un manager international.”
Structurez votre stratégie autour de ces trois épreuves :
- Résumé analytique comparatif : Comparer des documents pour en extraire une problématique (compte pour 30% de la note). Objectif : synthétiser sans interprétation personnelle.
- Essai argumenté : Répondre à une question en s’appuyant sur les documents et vos connaissances personnelles (compte pour 50% de la note). Priorité : construction solide et exemples du monde anglophone.
- Traduction (Thème) : Traduire une partie d’un texte français vers la langue cible (compte pour 20% de la note). Erreurs fréquentes à éviter : calques du français, fautes de grammaire, mauvaise gestion des temps verbaux.
Le thème : l’épreuve de traduction sous les projecteurs
La traduction (ou thème) est un pilier stratégique de l’ELVi. Contrairement à la “version” (traduction inverse), elle exige de passer du français vers la langue cible. Deux niveaux à maîtriser :
Pour la LV A (Langue Vivante 1) :
- 200 mots à traduire depuis le texte français du dossier.
- Évaluation : précision du message, richesse du vocabulaire, fluidité syntaxique.
- Pièges : noms propres mal traduits (“Pologne” vs “Polony”), erreurs de conjugaison (“he brang”), ou mauvais usage des prépositions.
Pour la LV B (Langue Vivante 2) :
- 150 mots à traduire, avec une exigence moindre sur la complexité.
- Focus : transmission claire du sens et du ton, même si la traduction est moins fluide.
- Attention aux effets de style inutiles et aux calques syntaxiques du français.
Les correcteurs sanctionnent sévèrement les fautes de grammaire de base, les contresens et les erreurs lexicales. Pour vous démarquer, anticipez les pièges : révisez les temps verbaux, enrichissez votre vocabulaire technique, et pratiquez la traduction sans logiciel d’aide. La clarté prime sur l’élaboration inutile.
Réussir l’épreuve de traduction : les attentes du jury décryptées
Ce que traduire veut dire pour le jury de la BCE
La traduction à l’épreuve de langue BCE n’est pas un simple décodage de mots. C’est un test de finesse linguistique et de compréhension contextuelle. Le jury attend une maîtrise allant au-delà de la traduction mot à mot.
Pour la LV A, le défi consiste à traduire des sujets complexes (sociaux, académiques, professionnels) tout en maîtrisant des structures grammaticales exigeantes. Par exemple, « Les enjeux climatiques exigent une gouvernance mondiale » devient « Climate challenges require global governance » plutôt qu’une version littérale.
Pour la LV B, l’enjeu est de produire une traduction naturelle, sans trace de calque syntaxique. Évitez les erreurs comme « this family’s story that tells the American journalist » au profit de « the story of this family as told by an American journalist ».
Les 3 piliers d’une traduction réussie
Pour décrypter la logique du jury, voici la checklist stratégique à suivre impérativement :
- La fidélité au message : Restituer le sens et les intentions de l’auteur. Exemple : « Transmettre à leurs fils un nom sans tache » devient « to pass down an untarnished name to their sons ».
- La richesse de la langue : Utiliser un vocabulaire varié et des constructions grammaticales élaborées (temps composés, subordonnées relatives, formes passives).
- La correction irréprochable : Une seule erreur de grammaire ou d’orthographe peut faire basculer la note. Privilégiez des révisions systématiques pour corriger des fautes fréquentes.
“Votre objectif n’est pas de montrer que vous comprenez le français, mais de prouver que vous maîtrisez parfaitement la langue cible pour en restituer toutes les nuances.”
Cette citation résume l’équilibre à trouver. Pratiquez la traduction inversée pour vérifier la cohérence et travaillez les formulations idiomatiques. Chaque mot compte : une mauvaise préposition transforme un effort convaincant en démonstration approximative.
Votre plan d’action pour les épreuves de l’EBC et de la BCE
Le Certificate EBC et les épreuves de la BCE évaluent les compétences en langues selon des formats distincts. L’EBC, avec ses 5 épreuves équilibrées (vocabulaire, compréhension, écriture, oral), exige un score minimal de 300/500. La BCE, quant à elle, repose sur un dossier thématique avec un résumé, un essai, et une traduction en 20 % de la note. Cette dernière, sous forme de thème, pèse lourd : 200 mots pour la LV A, 150 mots pour la LV B, où la fidélité au ton et la maîtrise des structures grammaticales complexes sont décisives. Connaître ces règles du jeu est la première étape vers la réussite.
Ne laissez pas l’apparente complexité de ces épreuves vous freiner. Vous avez maintenant les clés pour structurer votre préparation. Pour le EBC, ciblez vos points faibles en anglais professionnel. Pour la BCE, affinez votre capacité à extraire l’essentiel des dossiers et à traduire avec justesse. Chaque point compte, et une préparation ciblée fait toute la différence. Le cap est fixé : à vous de tracer votre route vers la réussite.
Vous maîtrisez l’EBC et les épreuves BCE ! L’EBC teste l’anglais business en 5 épreuves (vocabulaire, compréhension, écriture, oral). Pour la BCE, l’ELVi exige un thème (20% de la note) : 200 mots pour la LV A, 150 pour la LV B. Domptez la traduction, la victoire est proche !
FAQ
Quelle est la nature de l’épreuve ELVi au concours BCE ?
L’épreuve ELVi (Épreuve de Langues Vivantes) est une épreuve clé du concours BCE, dédiée aux langues étrangères. Elle dure 4 heures et se structure en trois parties stratégiques :
- Résumé analytique comparatif (30%) : vous devez synthétiser les idées clés de deux textes en langue étrangère, en les comparant sans ajouter d’opinions personnelles. C’est un exercice de précision, comme un couteau suisse : chaque mot compte.
- Essai argumenté (50%) : votre pensée critique entre en jeu. Répondez à une question en croisant les documents du dossier et vos connaissances. Visez une structure claire (introduction, développement, conclusion) et des exemples concrets.
- Traduction (Thème) (20%) : traduisez un extrait du texte français vers la langue cible (200 mots pour la LV A, 150 pour la LV B). Priorité à la fidélité au message et à la fluidité.
Le jury valorise la rigueur linguistique, la structure logique et la pertinence. Préparez-vous comme un stratège : maîtrisez les attentes de chaque partie et chronométrez chaque étape.
Quelles sont les épreuves de langue du concours ECRICOME LITTÉRAIRES ?
ECRICOME LITTÉRAIRES suit une logique proche de la BCE, avec des nuances propres aux filières littéraires. L’épreuve de langue (LV A et LV B) dure 4 heures et se divise en deux parties :
- Traduction (Thème) : traduisez un texte de 150 à 200 mots du français vers la langue cible. Le jury guette votre capacité à restituer les nuances du texte d’origine, en utilisant un vocabulaire riche et des structures grammaticales variées.
- Question de synthèse et d’argumentation : analysez des documents en langue étrangère, puis rédigez un essai argumenté en croisant ces sources. C’est un exercice de construction intellectuelle : structurez votre réponse comme un plan d’attaque (thèse, antithèse, synthèse) pour marquer des points.
Le poids de la traduction est crucial ici : une erreur de conjugaison ou un calque syntaxique coûte cher. Entraînez-vous à traduire sans « transposer mot à mot » et à varier votre lexique.
Comment réussir l’épreuve de synthèse de textes au concours BCE ?
La synthèse au BCE est un exercice de précision. Voici votre plan d’action :
- Comprenez les attentes : comparez deux textes en anglais, allemand ou espagnol pour en extraire une problématique commune. Aucun espace pour l’opinion personnelle : restez factuel !
- Décortiquez les textes : repérez les idées principales et secondaires. Gagnez du temps avec un surlignage méthodique (ex. : jaune pour les thèses, vert pour les exemples).
- Structurez sans faiblesse : une introduction accrocheuse, un développement thématique (et non linéaire), une conclusion qui éclaire la problématique. Évitez les phrases vides : chaque ligne doit servir la logique.
- Relisez en priorité : corrigez les fautes de grammaire et de syntaxe. Une expression mal choisie peut altérer la cohérence.
Exemple concret : si les textes traitent de la mondialisation, évitez de paraphraser les auteurs. Au contraire, mettez en avant leurs divergences (ex. : auteur A défend la libre-échange, auteur B souligne les inégalités).
Quelles sont les épreuves du concours BCE ?
Le concours BCE repose sur des épreuves écrites et orales, avec une priorité aux langues pour les filières internationales. Focus sur les incontournables :
- Épreuves écrites :
- ELVi (Langues) : résumé, essai, traduction (comme expliqué plus haut).
- Mathématiques : test de logique et de calcul.
- Épreuve de synthèse : analyse critique d’un dossier multidisciplinaire.
- Épreuves orales : entretien de personnalité, langue étrangère, et tests spécifiques selon les écoles (ex. : exposé sur un sujet économique).
Pour les langues, la traduction est votre alliée : 20% de la note, mais souvent sous-estimée. Ne négligez pas cette épreuve : une traduction fluide et sans fautes montre une maîtrise naturelle de la langue.
Quelle est la méthode pour réussir l’épreuve de résumé ECRICOME ?
Le résumé ECRICOME exige une approche méthodique :
- Extraction des idées essentielles : identifiez le fil conducteur des textes. Imaginez-vous cisailler les phrases pour garder l’ADN du message.
- Comparaison des documents : soulignez les points de convergence ou de divergence. Ex. : « Si le document 1 défend l’égalité des sexes, le document 2 met en garde contre les obstacles culturels. »
- Style concis : évitez les redondances. Utilisez des connecteurs logiques (« toutefois », « en revanche ») pour structurer vos contrastes.
- Correction linguistique : relisez pour les accords, les conjugaisons et la syntaxe. Une erreur de base (ex. : « they goes ») décrédibilise l’ensemble.
Exemple de plan d’attaque :
- Lisez les textes en 10 minutes.
- Repérez les mots-clés (environ 15 min).
- Rédigez en 25 minutes, respectant la limite de 350 mots.
- Relisez en 5 minutes pour corriger les « fautes bêtes ».




